Disques
A propos du disque
NOCTURNES ET BARCAROLLES (Label harmonia mundi / 2024)
Disque récompensé d’un EDITOR’S CHOICE par le Magazine Gramophone
(traduit de l’anglais) « Il est rare d’entendre un enregistrement de piano dont le programme soit aussi finement intégré, avec une progression des affects d’une telle fluidité. La précision du toucher de Piboule et son usage subtil de la pédale demeurent constants, tout comme la sensualité de son approche. Aussi étonnant que cela puisse paraître de mentionner en un même souffle l’idée de défense d’un répertoire et le nom de Fauré – figure inscrite depuis longtemps dans le canon classique – il est certain que l’affinité profonde et la compréhension intime qu’en a Piboule en font une ardente championne. Si son programme est moins vaste que celui de Marc-André Hamelin dans son très acclamé double album (Hyperion, 10/23), les interprétations de Piboule se distinguent par une originalité et une intimité irrésistiblement convaincantes. »
Patrick Rucker, Gramophone, Octobre 2024
Disque récompensé d’un DIAPASON D’OR par le Magazine Diapason
« Les couleurs, l’ambitus dynamique, la longueur de note du vénérable instrument se transforment en savants éclairages, en jeux d’arrière-plans, en profondeur de champ pour mieux prendre la mesure des ultimes opus. »
« Aline Piboule s’impose ici comme la digne héritière de ces grandes figures Fauréennes que furent Emma Boynet, Marguerite Long, Germaine Thyssens-Valentin ou Yvonne Lefébure. »
Marc Lesage, Diapason, Octobre 2024
Disque récompensé d’un 4 TTTT par le Magazine Télérama
« Au fil chronologique, Aline Piboule préfère un cheminement harmonique. On n’en perçoit que mieux l’infinie variété des couleurs, reliefs, climats et émotions qui traversent ces œuvres.
Qui exigent autant de puissance que de sensibilité, et trouvent ici une interprète à leur mesure. »
Sophie Bourdais, Télérama, Septembre 2024
Disque récompensé d’un 5/5 par le Magazine Nouvel Obs
« Le plus bel hommage rendu au Fauré des « Nocturnes et Barcarolles » en cette année commémorative. Quelle pianiste, Aline Piboule, qui paraît possédée par cette musique ! Elle en saisit les atmosphères mouvantes, clarifie les entrelacs subtils de l’écriture, restitue la tristesse hagarde de la dixième barcarolle et l’extravagance du cinquième nocturne, et célèbre avec un éclat stupéfiant les éruptions tragiques des nocturnes 12 et 13. Sur un Gaveau de 1929, fruité et plein d’un charme disparu, elle déploie les ailes grandioses du chant Fauréen à travers ce florilèges dont chaque note bat en bèche le cliché d’un compositeur uniquement intimiste. Avec Aline Piboule, la dynastie des Perlemuter, Lefébure, Ferber et Merlet a trouvé son héritère inspirée. »
Philippe Cassard, Le Nouvel Obs, Septembre 2024
« le récital grandiose et si sensible d’Aline Piboule »
Alain Lompech, Pianiste Magazine, Novembre 2024 – Dossier Fauré
Disque récompensé d’un 5***** par le Magazine Classica
« Aline Piboule déploie une fois encore un jeu aussi libre que maîtrisé, construit sur une respiration large où la noblesse du ton et la souplesse de l’articulation s’accompagnent d’une rare acuité de lecture : contrôle dynamique, domination de la complexité rythmique, mise en valeur des contrechants. »
« On espère des recueils complets de Fauré sous ces doigts inspirés et cet instrument idéal. »
Gérard Belvire, Classica, Octobre 2024
« La force et la pudeur »
« rien ne serait possible sans une guide aussi convaincante et inspirée. »
« une évidence poétique à laquelle on ne résiste pas une seule seconde ! Pudeur et force conjuguées : traduire avec autant de tact les charmes et les secrets, la tendresse, le lyrisme, l’amertume, la douleur-la rage contenue parfois même-qui habitent ces partitions n’est pas à la portée de tous les interprètes… »
« un enregistrement magistral qui, d’emblée, fait date dans la discographie Fauréenne.»
Alain Cochard, ConcertClassic.com, Septembre 2024
Le Choix de Laure Mézan dans Pianiste Magazine
« Un programme ponctué de pièces tardives, des Barcarolles et Nocturnes, que la pianiste nous restitue aujourd’hui au disque avec la sensualité, la tendre pudeur mais aussi l’exaltation propre à ce répertoire aussi expressif que dépouillé.D’autant que son choix s’est porté sur un piano Gaveau de 1929, issu de la collection du Musée de la Musique, dont elle parvient à faire ressortir des sonorités d’un grande clarté et d’une étonnante ampleur, jouant sur la profondeur de ses graves et la luminosité de ses aigus. S’ouvrant sur une improvisation au parfum délicieusement nostalgique, cet envoûtant programme nous emporte dans un univers étrange et poétique, évoluant vers une bien singulière modernité. »
Laure Mézan, Pianiste Magazine, Septembre 2024
« le récital grandiose et si sensible d’Aline Piboule »
Alain Lompech, Pianiste Magazine, Novembre 2024
« Le jeu raffiné et clair de la pianiste permet d’apprécier la délicatesse et les hardiesses du maître du clair-obscur. »
Philippe Venturini, Les échos, septembre 2024
« l’entendre s’immerger au plus âpre de l’écriture fauréenne, délaisser le moindre charme pour la sève, quelle expérience ! »
« Si sombre tout cela, avec une nuance de désespoir et une élégance aussi, cela en est beau comme du Verlaine. Et dit autant que chanté. »
« Le disque m’esseule, tant d’intensité, ce tragique des ultimes Nocturnes, le mystère un peu amer des Barcarolles comme un contrepoint à peine consolateur, comment s’en remettre ? Rouvrir les partitions, et voir que l’encre en effet en est si noire. »
Jean-Charles Hoffelé, ArtaMag, septembre 2024
A propos du disque
COINCIDENTIA OPPOSITORUM (Label Artalinna / 2024)
Disque récompensé d’un CHOC par le Magazine CLASSICA
« Faisant preuve d’une maîtrise pianistique exceptionnelle, Aline Piboule s’empare des ténèbres et de la lumière qui se partagent les pages de Bach, Liszt et Greif. »
« Aline Piboule insuffle une sensibilité et une poésie infinie à ces oeuvres dont on sent qu’elle les comprend en profondeur et qu’elle les ressent intimement. Son toucher tour à tour perlé et velouté fait merveille dans les passages méditatifs, tandis que la fougue qui s’empare d’elle dans les épisodes les plus tempétueux ne peut qu’emporter l’auditeur. Il faut une maîtrise pianistique exceptionnelle pour s’approprier ces oeuvres tantôt extatiques tantôt véhémentes, aux dimensions hors normes, à la virtuosité exigeante ; elle relève le défi avec brio et nous offre un album à écouter et réécouter sans fin. »
Sara Léon, Classica, Juillet / Août 2024
« Pianiste d’instinct (…), Aline Piboule cultive l’art de la confrontation. »
« Le goût de la pianiste pour le dépassement des cadres, temporels ou formels »
« Le CD qu’elle vient d’enregistrer s’inscrit dans cette quête de correspondances hors norme et va encore plus loin pour servir une trinité peu orthodoxe : Jean-Sébastien Bach – Franz Liszt – Olivier Greif. Ici, Aline Piboule n’intègre pas les mots à son récital mais elle en use, à travers les titres des œuvres, pour suggérer le sens d’un parcours éminemment spirituel. »
« Avec « Ich ruf zu dir, Herr Jesu Christ » (« Je t’appelle, seigneur Jésus »), transcription d’un choral pour orgue de Bach, la pianiste plonge dans les basses comme s’il s’agissait de puits sans fond, mais son jeu n’est jamais caverneux. Il diffuse la sérénité par un phrasé magnifique au discret rubato et par la maîtrise d’accords qui se dissolvent dans la résonance. La gravité revêt alors un caractère existentiel. »
« Au-delà d’une puissance et d’une virtuosité phénoménales, Aline Piboule impressionne par la justesse de son propos. A l’écouter, on se pose la question de la présence de l’homme dans l’activité du compositeur. Si Bach a tendance à s’effacer, Liszt, à coup sûr, s’expose. Quant à Olivier Greif (1950-2000), qui constitue le cœur du programme, il s’exhibe. Sous-titrée « Codex Domini », sa Sonate n° 21 (1994) en témoigne. Ecrite en un mois, cette partition de 21 minutes comporte trois mouvements d’une rare intensité. »
Pierre Gervasoni, Le Monde, Juin 2024
« Adeptes d’aventures musicales hors du commun, elle réunit brillamment dans son dernier opus trois compositeurs d’époques et de styles différentes. »
« Traversant les œuvres de Bach, Greif et Liszt, Aline Piboule nous mène de l’obscurité à la lumière, puisant dans un piano expressif et confidentiel qui se transforme au gré de son récit. Le chant solennel de Bach se déploie avec une profondeur émouvante tandis que la Ballade de Liszt, livrée avec un fort sens de l’évocation, bouleverse. Quant aux sonates de Greif, la pianiste dévoile la poésie de son jeu, s’attelant à des pages énigmatiques pour extraire une panoplie de couleurs et de sentiments, tour de force qui couronne cette gravure fascinante. »
Melissa Khong, Pianiste Magazine, Juillet / Août 2024
« Vous admirerez l’art de la pianiste lorsqu’elle l’emploie à la nudité de Bach, à la rumeur mystique de Bénédiction de Dieu dans la solitude, au sombre de la Deuxième ballade (Liszt), où ses timbres, son clavier profond trouvent des chefs d’œuvre à tutoyer. »
Jean-Charles Hoffelé, Artamag’, Juillet 2024
« Un très beau disque », « une très belle interprétation »
« Liszt emporté, plein de fougue et de passion »
Rodolphe Bruneau Boulmier, En pistes, France Musique, 5 Mai 2024
« (un disque) plein d’émotions et de ferveur »
Emilie Munéra, En pistes, France Musique, 5 Mai 2024
« Un disque ambitieux et très original »
« Une furieuse et très noire sonate Codex Domini et les plus lumineux Poems of Li t’ai Po »
Arnaud Merlin, Le concert du soir, France Musique, 12 Juin 2024
A propos du disque
Récital de piano (Label Printemps des Arts de Monte-Carlo / 2021)
« Aline Piboule, pianiste calme et ardente à la fois, est justement celle qui s’est attachée généreusement à la résurrection de compositeurs injustement oubliés en enregistrant quelques-unes de leurs œuvres singulières et prodigieusement pénétrantes. »
« Samazeuilh, Decaux, Ferroud et Aubert trouvent en Aline Piboule une ambassadrice éclairée qui leur permet de dépasser le temps de notre amnésie. Son disque empreint d’énergie et de poésie relève le défi de consacrer leur nouvelle contemporanéité. »
Jean de Faultrier, Singular’s, Août 2021
« La sonorité pleine et lumineuse de ce piano qui sait où il va, virtuose sans être jamais affecté, au relief très soigné, nous vaut une lecture superlative des « Clairs de lune » d’Abel Decaux. L’interprète suit avec gourmandise les indications dont le texte fourmille. »
« Les trois types de PO Ferroud nous scotchent »
« Ondoyant avec clarté, le jeu de Piboule rêve (Dans la nuit), fait souffler la passion (les envolées digitales de Sur le rivage), colore et pimente la Habanera de Soccory pour mieux l’abandonner à regret, avec une larme de désespoir. »
François Laurent, Diapason *****, Juin 2021
« … à la fois par le voisinage contrasté des esthétiques, par le raffinement incroyable des nuances et des sonorités, mais aussi par l’incisivité sans merci du propos (Decaux, Ferroud), Aline Piboule donne des interprétations de référence de ces pages sans jamais tomber dans l’anecdotique ou l’excès descriptif. Toute la puissance suggestive de ces interprétations incandescentes est magnifiée par un instrument insigne (un grand Bösendorfer 280 VC aux incroyables résonances timbriques et harmoniques) (…). Cette joie indicible de la découverte doublée d’un hédonisme sonore finement cultivé donne à ce somptueux récital l’aura et le frisson des grandes révélations. »
« Attachante, singulière et magistrale interprète, Aline Piboule allie à une impressionnante maîtrise technique ou à un sens inné et magique de la couleur sonore une profonde affinité avec l’univers poétique de chacune de ces pages rares originales et très différenciées. »
Benedict Hévry, Resmusica, Juin 2021
« Dans des pages plus connues que celles-ci (Fauré/Dutilleux), on pressentait un immense talent. Il se consolide et ce nouvel enregistrement n’est plus une découverte mais une confirmation. (…) On admirera sans réserve la précision de son jeu, qui ne nuit ni aux évocations grandioses ni aux portraits pince sans-rire, son sens de la construction, de la gradation, bref du discours pianistique, qui conserve d’un bout à l’autre de chaque morceau sa continuité et sa cohérence. Alors, avec le plus grand naturel, ces pages qui ne sont pourtant pas forcément d’accès aisé, ni pour l’auditeur ni pour l’interprète, sonnent avec évidence. »
Jacques Bonnaure, CHOC Classica, Mai 2021
« Une série de fulgurances qui mettent en lumière la capacité peu courante de la pianiste à manier les éclats spectaculaires sans perdre en intériorité dans le parcours à long terme. »
Pierre Gervasoni, Le Monde, Sélection Disques, 03 Avril 2021
« […]Aline Piboule est une musicienne émérite qui se joue des contrastes entre les oeuvres et elle parvient à en rendre toutes les facettes. »
Pierre-Jean Tribot, Crescendo Joker Absolu, Belgique, Mars 2021
« Aline Piboule réussit une interprétation passionnée et immédiatement captivante avec des climats puissants, une brillante dramaturgie de la lumière et un grand jeu de dynamique. » […] Concernant les Clairs de lune d’Abel Decaux, le « Schönberg français » : « le jeu intense d’Aline Piboule produit des moments très troublants, inquiétants, presque cauchemardesques… Froideur glaciale, mouvements de gobelins, tout devient carrément effrayant dans La Mer, pièce impressionniste aux crescendi parfois violents, composée quelques années avant le chef-d’oeuvre de Debussy. »
Rémy Franck, Pizzicato, Disque Supersonic Pizzicato, Pays-Bas, Mars 2021
« Un disque qui vous fait aimer à la folie cette musique parce que tout y est : une maîtrise instrumentale impressionnante, une sonorité de rêve, un art de la poésie, un art des couleurs, une fluidité dans le jeu » […]
« Un disque indispensable à toute discothèque qui se respecte »
Philippe Cassard, France Musique, Portraits de famille, 27 Mars 2021
« Son expressivité et ses interprétations pleines d’émotions sont remarquables » […]« Les harmonies riches, la qualité des mélodies et l’interprétation poétique prouvent la justesse du choix de ces compositeurs »,« Puissance et expressivité du style »
Helmut Pitsch, O-Ton, Autriche, 21 Avril 2021
A propos du disque
Dutilleux & Fauré (Label Artalinna / 2017)
« Une révélation »
« Les noms célèbres ne sont pas toujours garants de bonnes productions – il y a de nombreux exemples.
Or, Il existe aussi des artistes moins médiatisés qui font de la très belle musique.
Parmi eux, Aline Piboule, pianiste française, qui mène discrètement son parcours musical. Elle vient de publier un CD qui nous permet d’entendre ce qu’elle a à nous dire. »
Radio 100,7, Luxembourg, 12 octobre 2017
« A travers une interprétation raffinée, architecturée, libre, elle affirme une autorité et une science du clavier dont il faudra se souvenir, et qui font d’elle d’ores et déjà une interprète de premier plan du répertoire français. »
Michel Le Naour, Cadences, Septembre / Octobre 2017
« La parfaite fluidité des transitions surprend et ravit (…) Mais si l’on admire autant la pertinence et l’originalité de ce premier disque en soliste, c’est surtout grâce à l’interprétation. Si elle s’adapte aux particularités de chaque compositeur (son Fauré est gourmand, son Dutilleux tonique), Aline Piboule leur offre à tous deux un jeu puissant et gracieux, aux effusions bien maîtrisées. »
Sophie Bourdais, ffff Télérama n°3518, juin 2017
« Disque splendide »
« Sa ballade de Fauré a une ampleur symphonique et une grande lisibilité, ce qui n’est pas rien.»
« Sonate de Dutilleux délivrée avec une majesté et sonorité voluptueuse, une sorte de calme intérieur »
Alain Lompech, Diapason 5*****, Juin 2017
« Chapeau für diese tolle Leistung ! Velvet-tone colours, a great refinement as well as genuine poetic feeling show the artistry of French pianist Aline Piboule. First class! »
Remy Franck, Pizzicato.lu, 16 mai 2017
« Aline Piboule sait faire entendre sa voix et se faire une place de choix (…) Elle parvient à conjuguer le mystère et la lumière, la rigueur et la souplesse (…) La riche texture polyphonique de Thème et variations est d’une clarté absolue mais sans sécheresse, avec bien de la sensualité dans le toucher.(…) On admire également la subtilité de la gestion du flux musical, toujours sobre et rigoureux mais avec de délicats dégradés de volume (…)»
« Une impression de souplesse et de liberté»
« Aline Piboule se montre particulièrement inventive dans le jeu de timbres et les chatoiements sonores»
« Un beau début, qui suscite de grands espoirs»
Jacques Bonnaure, Classica 4****, Juin 2017
« Aline Piboule comprend aussi bien les deux musiques. Mieux, elle les sent. Son instinct lui permet, entre autres, de boucler la boucle des périples les plus aventureux avec une rare évidence. Et sa technique d’en éclairer chaque orientation avec fidélité. »
Pierre Gervasoni,Le Monde, Sélection Album, 3 avril 2021
« Je recommande ce disque, c’est un des plus beaux qui est paru ces dernières semaines, un disque de piano à vraiment posséder dans sa discothèque, vous en serez encore fiers dans 10 ans. »
A propos de Dutilleux
« Il y a à la fois une finesse, une délicatesse mais aussi une poigne, un rythme, une manière d’orchestrer son piano dans le jeu d’Aline Piboule, (… ) qui donne un éclairage étonnant, surprenant, et surtout très convaincant à l’interprétation (…) aussi inspirée qu’implacable de cette sonate. »
A propos de Fauré
« La sonorité d’Aline Piboule est faite de délicatesse, de tendresse, merveilleusement phrasée. »
« La simplicité, la noblesse et la beauté de l’expression d’Aline Piboule font plaisir. Elle restitue toute la grandeur de cette musique sans vouloir démontrer quoi que ce soit, simplement, elle joue, et pense magnifiquement cette musique. »
Philippe Cassard, France Musique, 6 mai 2017
« le ton ample, le son d’orchestre, la simplicité de l’allant mettent partout un ton d’évidence. Cela ne traîne pas, mais pourtant cela rêve, quadrature du cercle que permet un vrai legato, vocal, ombreux. »
Jean-Charles Hoffelé, Discophilia, Avril 2017
« C’est une merveille d’intelligence musicale, de maîtrise pianistique, d’allant » (pour la Sonate de Dutilleux) … « Pas de Fauré de salon ici, c’est « toutes voiles dehors », presque caracolant dans la Ballade et c’est tout aussi enthousiasmant. Un grand disque de piano. »
Thierry Vagne, 16 avril 2017
à propos du disque
Flûte et piano en France entre 1890 et 1920 (Label Lyrinx / 2010)
« D’un goût sûr et d’une grande musicalité. »
Classica 4****
« Un disque plein de charme et de saveur. »
Le Dauphiné Libéré
« L’élégance du style, le raffinement sonore n’ont d’égaux que la vélocité technique et l’écoute mutuelle chez ces jeunes artistes. »
La Marseillaise
« Le piano s’envole avec maestria sous les doigts d’Aline Piboule et complète le jeu talentueux de Jocelyn Aubrun. »
France Catholique 4****
« Jocelyn Aubrun et Aline Piboule font preuve d’une entente sans faille qui témoigne d’une grande familiarité avec les œuvres choisies. »
Tempo flûte
Concerts
« Aline Piboule entre en scène auréolée des multiples récompenses reçues pour chacun des disques qu’elle a publiés et particulièrement le tout dernier, consacré à une anthologie du piano fauréen distinguée unanimement par les presses allemande, anglaise et française. On entend malheureusement bien trop peu souvent cette championne en récital et avec orchestre. Aux Lisztomanias, elle va confronter la musique de Fauré à celle de Liszt. Et comme Piboule est professeur, qu’elle est très curieuse en matière d’éditions et qu’elle est habituée à désosser les œuvres pour ses étudiants, elle va présenter et contextualiser les pièces de son récital, juste avant de les jouer : le public entend immédiatement ce que la musicienne explique. Et ça marche. Confronter Fauré et Liszt n’est d’ailleurs pas le bon mot : plutôt rapprocher, faire se rencontrer, créer des surprises, faire surgir des ambiguïtés. »
« un défi qu’elle relève avec cran »
« Aline Piboule joue avec franchise et détermination. »
« Piboule conduit la Ballade de Fauré vers son apothéose avant une conclusion apaisée et rêveuse admirablement amenée. »
« Plus on va avancer et plus le rapprochement Fauré-Liszt va prendre une tournure qu’on n’aurait pas imaginée. Passer des Apparitions et Lugubre gondole à la Barcarolle n° 10, des Nuages gris au Nocturne n° 13 est troublant, car la sublime grisaille harmonique du Hongrois répond admirablement à celle du Français qui n’a pas son pareil pour détruire lui aussi le langage tonal classique par la modalité et des frottements dissonants qui accentuent le caractère douloureux, farouche, d’une musique elle aussi ouverte sur l’avenir. L’interprète, comme libérée de toute tension, s’efface derrière ce qu’elle joue avec maîtrise, intensité, et une concentration oublieuse du monde qui l’entoure, tellement en situation pour ces pièces. On espère réentendre Piboule rapidement. »
Alain Lompech – Bachtrack, 25 octobre 2024
Au sujet du récital solo au Festival Messiaen au pays de La Meije :
« L’inventive pianiste »
« la présence rayonnante de la pianiste Aline Piboule, spécialiste des programmes inattendus et partageurs. Au-delà de son goût pour la création, récompensé en 2014 par cinq prix lors du Concours International de piano d’Orléans, la dame est éclectique, et son répertoire balaie plusieurs siècles de musique. Elle mériterait des invitations en cascade, pas seulement pour son art du clavier mais aussi pour l’imagination qu’elle met à créer, à chaque proposition musicale, les conditions qui favoriseront l’écoute d’un auditoire présumé curieux. Démonstration avec un époustouflant récital de piano baptisé Héritages »
« Puissant quand il le faut, toujours subtil, le piano narratif d’Aline Piboule fouaille l’âme autant qu’il séduit l’oreille. »
« Qui n’aurait pas encore compris l’extrême sensibilité de l’interprète la saisira lors de la dernière partie du récital… Le dernier (mouvement) donnera l’impression, par l’engagement physique de la pianiste, de voir une cavalière de l’Apocalypse traverser un champ de bataille au milieu des explosions, puis finir sa course folle sur une longue résonance, le visage défait, comme si elle avait laissé quelque chose d’elle-même au milieu du chaos. »
Au sujet du Dernier amour de Fauré avec Pascal Quignard :
« Les nons-dits du texte, magnifique de concision et de poésie, sont comblés par la musique, chargée de passions finement nuancées. L’écrivain et la pianiste se passent la « parole » avec souplesse, s’écoutant l’un l’autre avec une intensité stupéfiante, comme il est d’usage dans un duo chambriste. »
« Cette façon d’éclairer des oeuvres réputées « difficiles » en les confrontant à la littérature, les rendant ainsi aussi limpides qu’émouvantes, ne peut que servir la musique. »
« superbe spectacle »
Sophie Bourdais – Télérama, 23 août 2024
« la pianiste soumet à notre imaginaire avec la plus grande expressivité, usant d’une vaste palette de timbres. »
« Disposant de moyens techniques infaillibles, dans un engagement émotionnel total, la pianiste livre une interprétation bouleversante de cette œuvre hors du commun, ne laissant indemne personne, pas même elle… »
Concert du 24 juillet 2024 au Festival Messiaen au pays de la Meije
Jany Campello – Classica, 6 août 2024
« Un de ces programmes stimulants tant sur le plan intellectuel que
musical (celui-ci s’intitule « Héritages »), dont la musicienne a le
secret ».
« Pour mieux démêler parentèles et filiations entre Claude Debussy, Paul Dukas, qui fut son maître de même que celui d’Olivier Messiaen, lesquels influencèrent durablement le Japonais Toru Takemitsu, Aline Piboule a tissé une vaste toile de passations, d’hommages, d’adieux et de tombeaux, dont la trame s’arrime à deux des Epigraphes antiques de Debussy (Pour évoquer Pan, dieu du vent d’été, Pour remercier la pluie au matin) et Cloches à travers les feuilles (issu d’Images). Dépouillement, notes répétées hallucinatoires, vrombissements, grésillements, résonances, cette longue évocation de sept pièces accolées en une œuvre unique distingue chaque personnalité autant qu’elle les confond dans une puissante rêverie esthétique ».
(O.Greif) « Musique éperdue, entre recueillement et vertige, cri et silence, dont Aline Piboule choie avec amour toutes les inclinations ».
Concert du 24 juillet 2024 au Festival Messiaen au pays de la Meije
Marie-Aude Roux – Le Monde, Juillet 2024
« L’instrument peut certes surprendre des oreilles accoutumées à l’homogénéité des instruments modernes, mais aide grandement qui sait le toucher à traduire la saveur singulière de l’harmonie fauréenne. Il n’est, cela dit, que le vecteur d’une interprétation extrêmement racée, à mille lieues de la manière « sous abat-jour » dont Fauré souffre parfois. Aline Piboule saisit – au sens plein du mot – les caractères et souligne l’intense pureté d’une musique exempte d’images et de littérature devant un amphithéâtre bondé et conquis. Une magnifique pianiste que l’on aimerait entendre plus souvent ».
Concert du 27 janvier 2024 à la Philharmonie de Paris
Alain Cochard – ConcertClassic.com, Janvier 2024
« Sa sonorité affirmée et enracinée, notamment dans les graves, donne une résonance très riche. Cette caractéristique, particulièrement propice aux harmonies fauréennes très personnelles qui se dilatent de plus en plus, est pleinement mise en valeur par la pianiste. Elle insiste sur le côté consistant, voire terrien, de la musique de Fauré qu’on ne soupçonne pas habituellement. Ainsi, entre l’éther et la terre, elle montre majestueusement, sans aucun maniérisme, toutes les expressions fauréennes. Elle se présente en ce sens en initiatrice de sa musique parfois difficile à cerner, non seulement avec des Nocturnes et des Barcarolles, mais aussi des œuvres relativement rares ».
Concert du 27 janvier 2024 à la Philharmonie de Paris
Victoria Okada – Crescendo, Janvier 2024
« Existe-t-il une ruine heureuse ? » Au Ronceray, Pascal Quignard et Aline Piboule interrogent les traces et la guerre. À la voix grave et sourde de l’écrivain répond le jeu sans concessions de la pianiste. Toucher franc, musicalité juste, remarquable conduite discursive, Aline Piboule se coule aussi aisément dans les œuvres d’Adès et Fauré que dans celles de Mompou (rare Musica callada), Bach ou Greif (non moins rare Sonate de guerre). On reste bouleversé d’avoir entr’aperçu le « rouge et l’or » du bonheur, senti « cette ombre qui tombe sur les feuilles qui tombent ».
Anne Ibos-Augé – Diapason Mag, Mai 2023
« Saisis par la profondeur des propos musicaux, nous ne sortons pas indemnes. Quelle artiste est Aline Piboule ! À quelle hauteur elle nous emmène ! »
Victoria Okada – Crescendo Magazine, Mai 2023
« La musique jouée par la pianiste et les textes de l’écrivain sonnent avec une force, une profondeur d’une intensité rare et poignante. Première pièce d’un programme musical original superbement travaillé comme elle sait en concevoir, Aline Piboule nous plonge dans l’atmosphère disloquée, désolée de Darknesse visible, de Thomas Adès, qu’elle éclaire de l’intérieur par la fine vibration de ses notes répétées. Ce sont ensuite un Choral de Bach, des extraits de Musica Callada de Federico Mompou, la sombre Barcarolle n°9 op.101 de Gabriel Fauré, et le dernier mouvement de la Fantaisie op.17 de Robert Schumann, qui se succèdent avec autant d’intensité expressive sous son toucher d’une extraordinaire précision. (…)L’écrivain de sa voix sombre interroge enfin : « où est le mur… où est la maison… où est le port ? » tandis que la pianiste conclut par une bouleversante Sonate de guerre d’Olivier Greif (deuxième mouvement) qui ne laisse pas indemne l’auditeur. »
Jany Campello – Resmusica, Mai 2023
« Une pianiste que j’ai toujours connue aussi bien pour son talent que pour son engagement dans la musique d’aujourd’hui et pour les chefs d’oeuvres oubliés (…), ces deux caractéristiques ne se démentent pas (…) »
« Aline Piboule, du très très grand piano cet après-midi sur France Musique »
Clément Rochefort – Emission Générations France Musique, Septembre 2021 / France Musique
« Un chemin en quatre étapes à travers des sentiers divers et détournés, comme une épopée où la technique transcendée le dispute à l’émotion : festival dans le festival, un festival Piboule ! »
« un panorama marathon des talents multiples et éclectiques de l’artiste »
Decaux La mer : « une transmission d’une grande éloquence qui frise la prouesse »
Chopin : « les quatre Ballades, pages célèbres mais renouvelées par l’élan et l’énergie »
Récital de musiques françaises rares : « On passe ainsi de la luxuriance à l’originalité (chez Ferroud) et l’étrangeté (chez un Decaux quasi atonal, en 1907 !), transmis entre virtuosité, dextérité, sensibilité et épanchement. Un parcours sans faille ! Les bis jouent de la délicatesse avec une Romance de Fauré et le Clair de lune, de Debussy. »
Pierre-René Serna – ConcertClassic.com, Août 2021 / Festival Berlioz
Chopin : « Le Prélude n° 16 de Chopin est ce violent coup de vent qui balaie tout sur son passage, page extraordinaire du romantique dans l’interprétation flamboyante d’Aline Piboule (…) »
Debussy : « une énergie et une concentration qui sidèrent : vitalité des couleurs, clarté des lignes et des plans sonores dans De l’aube à midi sur les vagues ; dimension orchestrale du piano dans Jeux de vagues ; belle lisibilité du texte dans Dialogue du vent et de la mer dont elle conduit sans faillir la dramaturgie jusqu’à l’émergence finale. »
Schmitt : « Aline Piboule en restitue la richesse harmonique, les couleurs et la veine mélodique au sein d’un jeu très orchestral qu’elle sait si bien entretenir, dans l’engagement du geste et la puissance résonnante de son piano. »
Aubert : « Dans la nuit » (…) « que la pianiste fait briller de mille feux à travers une virtuosité transcendantale. »
Michèle Tosi – Resmusica, Août 2021 / Festival Berlioz
« Un florilège d’oeuvres rares de compositeurs du début du XXe siècle dont Aline Piboule défend la cause avec gourmandise et virtuosité. »
« Aline Piboule prodigue les « lumières spéciales » dont parle Debussy dans Clair de lune au large de Samazeuilh, une pièce balançant entre mystère des profondeurs, poésie sonore et nostalgie délicatement suggérés par notre pianiste. De Pierre-Octave Ferroud, Bourgeoise de qualité et Vieux Beau sont des pièces de caractère auxquelles elle donne brillance et panache avec une aisance et une fluidité du geste qui nous ravissent. Le clavier est homogène et l’envergure virtuose. »
« Aline Piboule possède le talent de composer et de défendre des programmes où la musique du XXème siècle et de notre temps se marie avec celle des siècles passés, où la découverte dispute le devant de la scène au répertoire connu. » […] « Clair de lune au large (Samazeuilh) apparaît sous le toucher impalpable de la pianiste…Un moment de rêverie nocturne aux harmonies délicates » […] (Types de Ferroud) « deux pièces de caractère dont la pianiste relève le piquant et la superbe avec beaucoup d’esprit et une agilité technique ahurissante. »
Jany Campello – ConSpirito, Avril 2021 / Printemps des Arts de Monte-Carlo, Récital au Palais Garnier de Monaco
« Aline Piboule nous fait découvrir la richesse insoupçonnée d’un répertoire français contemporain des œuvres de Debussy, Fauré, Ravel, mais de compositeurs quasiment ignorés. »
« Aline Piboule fait montre d’une maîtrise infaillible (…) On lâche prise avec la déroutante réalité pour ce moment de rêverie qu’elle nous offre. »
« Aline Piboule en grande artiste aura tenu le gouvernail de ses émotions pour nous livrer un concert magistralement interprété. »
Jany Campello – ClassiqueNews, 24 mars 2020 / Printemps des Arts de Monte-Carlo, Récital au Palais Garnier de Monaco
« Ces pièces (…) sont servies par la maîtrise, l’inspiration et la conviction d’Aline Piboule. »
Nicolas Darbon – Olyrix, 16/03/2020 Printemps des Arts de Monte-Carlo, Récital au Palais Garnier de Monaco
« Sur un majestueux Bösendorfer, la musicienne a rendu vie à quatre compositeurs bien injustement délaissés. »
« Saluons la vision d’Aline Piboule, investie dans la résurrection de ces pièces pour en restituer le très original génie. Faisant preuve d’une grande maîtrise digitale dans des morceaux techniquement difficiles, C’est surtout dans l’atmosphère angoissante des Clairs de lune d’Abel Decaux, que son interprétation onirique a culminé. »
« Un programme passionnant et superbement interprété. »
Jean-Claude Hulot – Diapason, 17/03/2020 Printemps des Arts de Monte-Carlo, Récital au Palais Garnier de Monaco
« Une Barcarolle de Chopin dont les respirations se conjuguent avec un magnifique rubato qui n’appartient qu’à Aline Piboule, donnant aux tierces du chant un lyrisme sensuel et lumineux. »
« Un piano gourmand ! »
« On n’a pas vu le temps s’écouler… Comme quoi il suffit d’un peu d’audace, d’intelligence, d’imagination et de quelques ampères entre le soliste et le public ! Un courant qu’Aline Piboule a su établir.
Jany Campello – Pianiste magazine, 23 août 2017 / Festival Autour du Ventoux
« Aline Piboule fait briller la Mer. (…) L’élégance du jeu est à la hauteur de la finesse de la partition… Sous les doigts de Piboule, les notes se transforment en tableaux de maître, très colorés. »
Victoria Okada – Resmusica, 21 juillet 2016 / Festival Format Raisins
« Aline Piboule offre un programme d’une densité et d’une expressivité sur le fil résolument impressionnante.
Délivrant deux ballades de Chopin avec infiniment d’âme et cette folle petite pluie de ses doigts sur le clavier. (…)
Admirable est la Sonate, cette œuvre de Dutilleux qu’illumine Aline Piboule, avec miroitements éblouissants et ardeur souveraine. »
Jean-Dominique Burtin – Mag’centre, 25 mai 2015 / Festival de Sully-sur-Loire
« Aux mains fines mais aux doigts robustes, elle développe des facultés réactives et tranchantes, dominant, d’une vélocité sans faille, les déferlements contenus dans les sonates de guerre (Prokofiev et Greif). Epoustouflantes ! »
« On pût apprécier la subtilité digitale d’Aline Piboule dans ses volutes arachnéennes traduisant le Livre II des études de Debussy. Indubitablement, on ne peut qu’attendre les nouvelles fascinations de la jeune perle rare. »
Georges Masson – Le Républicain Lorrain, 19 décembre 2014 / Arsenal de Metz
« Aline Piboule nous impressionne par l’intelligence et la clarté dans son interprétation, notamment de la Sonate de guerre d’Olivier Greif… et exécute cette Sonate avec une telle implication et une telle force physique dans une expression poignante, qu’on ne peut pas être insensible à son talent. »
Victoria Okada – Resmusica, 23 juin 2014 / Lille piano(s) Festival
« Magnifique prestation de bout en bout de la Française Aline Piboule, deuxième prix du concours, qui offre le plus grand moment de la soirée en enchaînant l’Etude n°2 Igra de Pascal Dusapin et un extrait de Makrokosmos de George Crumb avec une aisance poétique et une recherche de sonorités proprement confondantes. »
Laurent Vilarem – La lettre du musicien, 25 mars 2014 / Théâtre des Bouffes du Nord, Paris
« Aline Piboule convainc par sa mobilité, par l’échange qu’elle sait établir avec les musiciens dans une pièce où la virtuosité le dispute à une sérénité envoûtante. »
Michel Le Naour – Concertclassic, 24 mars 2014 / Scène Nationale d’Orléans
« Une sonate de guerre d’Olivier Greif par une renversante Aline Piboule. »
Jean-Dominique Burtin – Mag’centre, 12 mars 2014 / Salle de l’Institut, Orléans
« Une interprétation de Dutilleux magnifique et inspirée. »
«L’interprétation d’Aline Piboule redonne à cet intimidant chef d’oeuvre qu’est le 7ème nocturne de Fauré toute sa grandeur, son lyrisme grâce notamment à une sonorité somptueuse. »
Philippe Cassard – Le matin des musiciens /France Musique, 16 octobre 2013
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Au sujet de COINCIDENTIA OPPOSITORUM (Label Artalinna)
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Au sujet du disque « Musiques françaises rares » (Label Printemps des Arts de Monte Carlo)
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